Je viens
Emmanuelle Bayamack-Tam/ Folio
Emmanuelle Bayamack-Tam Je viens filetype pdf - Je viens par Emmanuelle Bayamack-Tam ont été vendues pour EUR 7,70 chaque exemplaire. Le livre publié par Folio. Il contient 432 pages et classé dans le genre Folio. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.7 des lecteurs 742. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Détails de Je viens
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Titre du livre : Je viens
Auteur : Emmanuelle Bayamack-Tam
ISBN-10 : 2070469700
Date de sortie : 2016-06-09
Catégorie : Folio
Nom de fichier : je-viens.pdf
Taille du fichier : 27.95 (La vitesse du serveur actuel est 25.34 Mbps
Emmanuelle Bayamack-Tam Je viens filetype pdf - Je viens a été écrit par Emmanuelle Bayamack-Tam qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. Je viens a été l'un des livres de populer sur 2016. Il contient 432 pages et disponible sur format . Ce livre a été très surpris en raison de sa note rating et a obtenu environ avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre Je viens que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie.Rang parmi les ventes Amazon: #31466 dans LivresPublié le: 2016-06-09Langue d'origine: FrançaisNombre d'articles: 1Dimensions: 4.25" h x .71" l x 7.01" L, Reliure: Poche432 pagesRevue de presseLa satire sociale, contre le racisme à peine voilé ou l'aliénation à l'idéologie, n'est jamais bien loin, malgré le ton désinvolte qui rend drôle ce qui serait sans cela une insoutenable tragédie. Aidée par des fantômes qui habitent cette maison à la Dickens, Charonne va survivre, et aura la force d'éviter le destin calamiteux de ses devancières. Emmanuelle Bayamack-Tam donne avec Je viens un roman inspiré, où le tragique se fait léger, où la littérature n'est pas livresque, un roman aussi tonique que son héroïne, qu'on est impatient de revoir. (Alain Nicolas - L'Humanité du 7 janvier 2015)Charonne a 20 ans, elle est une héroïne récurrente mais à la biographie variable des romans d'Emmanuelle Bayamack-Tam. Celui-ci, Je viens, est un conte cruel et très drôle, l'autoportrait de trois femmes d'une même famille qui prennent la parole l'une après l'autre : la grand-mère nonagénaire Nelly, sa fille sexagénaire Gladys et sa petite-fille Charonne... Dans les contes, les familles sont tordues. La distance et la tonicité que dégage le roman, l'écrivain les fabrique moins avec l'ironie qu'avec le mélange d'idéalisme et de lucidité de ses personnages. Aussi sombres que soient certaines perspectives, l'énergie est toujours là... Emmanuelle Bayamack-Tam invite dans ses phrases Dickens, le spécialiste de l'enfance négligée, Verlaine et Henri Michaux. (Virginie Bloch-Lainé - Libération du 12 février 2015)Présentation de l'éditeurUn roman comique qui mouline les sujets qui fâchent, le racisme qui a la vie dure, la vieillesse qui est un naufrage, et les familles que l'on hait. Charonne - personnage récurrent des romans de l'auteur - chamboule l'ordre des choses : ce qui est aussi un crime contre l'humanité. Abandonnée deux fois (par ses parents biologiques puis par ses parents adoptifs), grosse, noire (ou perçue comme telle), Charonne va imposer sa vitalité irrépressible et la force agissante de son amour. D'abord sur Nelly (la grand-mère) qui raconte sa vie in extremis, entre ressassement et déploration. Et aussi sur Gladys (la mère) qui, parce qu'elle cherche à justifier son incapacité à vivre, produit un discours vindicatif et furibond qui tient souvent du délire. Je viens, c'est la proclamation par Charonne de sa volonté de redresser les torts, de parler contre les lois ineptes, de faire passer sur la maison borgne comme un souffle de bienveillance qui en dissiperait la léthargie et les aigreurs.Quatrième de couvertureJe viens vérifie la grande leçon baudelairienne, à savoir que le monde ne marche que sur le malentendu. Je viens mouline les sujets qui fâchent, le racisme qui a la vie dure, la vieillesse qui est un naufrage, la famille qui est tout sauf un havre de paix. Je viens illustre les lois ineptes de l'existence et leurs multiples variantes:l'amour n'est pas aimé, le bon sens est la chose du monde la moins partagée, les adultes sont des enfants, les riches se reproduisent entre eux et prospèrent sur le dos des pauvres, etc. Mais pour accablante qu'elle soit, la réalité devrait pouvoir s'écrire sans acrimonie, dans une langue qui serait celle de la farce ou du vaudeville:Je viens, c'est aussi la proclamation par Charonne de sa volonté de redresser les torts, de parler contre les lois ineptes et de faire passer sur le monde comme un souffle de bienveillance qui en dissiperait la léthargie et les aigreurs.
Catégories : Folio
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14 internautes sur 16 ont trouvé ce commentaire utile.Quelle leçon d'écriture et de penséePar Christèle MDans notre monde manipulé par les penseurs uniques, EBT nous renvoie avec une ironie de belle finesse vers le sens de la critique.Ce livre est un ovni parmi les romans des dix dernières années, au même titre que L'Outrepêcheur: Tome 1 - La naissance de l'écume dans le registre fantastique jeunesse, Je viens nous bouscule , nous donne parfois la nausée, mais surtout nous provoque sans violence à regarder nos vies.Bravo madame Bayamack-Tam. Que livre !
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